Formes plurielles
"Ceci est le fil cédé, mythe d'un cas à clé, qui usurpe la robe couvrant un mur uni, signé au bas"
…puis, sur un sol enluminé, ma grogne a chassé nombre de diptères déguisés
Ce milord cuisine sa fable panée au pur sel, d’un goût osé à louche pétri
Ce noyau qui pense, purge cet éxil matin figuré
Cher toi qui cru le code
Chère Louise
Cet hymen qui a bu le sol plié, éclôt de rimes naufragées, espoirs testés
Ci-git la chair de mon gynécée crûment cité qui passe 1
Ci-git la chair de mon gynécée crûment cité qui passe 2
Couleur safran
De cet art écru git un rebut proposé
Dors, jeune mignonne pop, respire à petit feu
Dame fable ralluma un spot, lien détouré du caprice exogène trop précis
Isis a décousu ce long cri, tissé d’un bol muet, éternel chaos
Le berceau de Janua
« Va, Gaïa, ose museler ces anges bleus qui flottent sur mon cri »
« L’ombre abyssale de ton esprit asservi, rejette un écrin garni, qui fut un pis pressé, musc nie’ »
« Pas à pas, Iris ouvre sa fenêtre en grand, sur ce feu, d’un film peint »
« lynx nanti su attiser cet appel mou qui émerge tel un désir fou »